Quand on lit le titre «Le Petit Meaulnes», on croit d’abord à une énorme faute d’impression, un lapsus d’imprimeur ou, pire, un jeu de mots provocateur destiné à faire rire. Ce n’est pas le cas. Le Petit Meaulnes existe, je l’ai rencontré. La première fois c’était à la page 11 du livre de poche «Le Grand Meaulnes». Il y fait un passage furtif. On apprend qu’il s’appelle Antoine et qu’il est le cadet du Grand Meaulnes…